♻️ Un pas de plus vers une mode premium plus durable

La mode de seconde main poursuit sa mue.
Et Faume, startup française spécialisée dans la revente pour marques premium, vient d’annoncer une levée de fonds de 8 millions d’euros pour renforcer sa croissance en Europe.

Objectif : accompagner toujours plus de marques dans l’intégration de la seconde main à leur business model.
Pas via une plateforme tierce. Pas en cédant le contrôle.
Mais à travers une solution clé en main, en marque blanche, alignée avec leur identité, leurs prix, leurs valeurs.

🛍️ Une solution pour les marques qui veulent rester maîtresses de leur image

Depuis ses débuts, Faume s’adresse aux marques qui souhaitent :
✔️ Créer leur propre plateforme de seconde main,
✔️ Gérer l’intégralité du parcours client,
✔️ Réintégrer les produits dans une logique circulaire maîtrisée.

La promesse est simple : permettre aux enseignes de luxe et de mode premium de reprendre la main sur la seconde vie de leurs produits, sans dépendre de plateformes tierces ou dégrader leur image.

Déjà plus de 45 marques s’appuient sur ce modèle, et l’ambition est claire : accompagner 150 marques d’ici quatre ans.

🚀 Une expansion européenne stratégique

Avec cette levée de fonds, Faume se donne les moyens de :
🔹 Renforcer ses équipes tech et commerciales,
🔹 Développer un outil d’IA de tarification dynamique pour mieux valoriser les produits revendus,
🔹 S’étendre sur des marchés clés comme le Royaume-Uni et l’Italie, où la demande pour une mode plus responsable explose.

Cette internationalisation ne repose pas uniquement sur la technologie, mais aussi sur des partenariats de marques locales emblématiques, en phase avec les attentes des consommateurs européens.

📊 La seconde main : d’alternative à levier stratégique

Ce n’est plus un effet de mode.
La revente est désormais un piliers de croissance pour les marques de mode.

✔️ Elle génère de nouveaux revenus,
✔️ Elle fidélise les clientes à des moments clés (grossesse, changement de saison, évolution de style),
✔️ Elle réduit l’impact environnemental de l’industrie textile.

À elle seule, Faume aurait permis d’éviter plusieurs milliers de tonnes de CO₂ via la revalorisation de vêtements déjà existants.

La croissance verte prend ici une forme concrète, pilotée par la marque, soutenue par la tech, et portée par une demande consommateur en pleine accélération.

🧠 L’analyse Butterfly : vers une nouvelle norme

Chez Butterfly, nous accompagnons de nombreuses marques qui s’interrogent sur leur posture face à la seconde main.
Voici ce que montre l’exemple Faume :

🔸 La revente n’est pas une perte de valeur, c’est un actif stratégique.
🔸 Les marques qui en prennent le contrôle renforcent leur lien client, leur image et leur responsabilité.
🔸 Il ne s’agit pas seulement de cocher la case "RSE", mais d’intégrer la circularité comme un levier business à part entière.

✨ Conclusion

La levée de fonds de Faume marque une étape structurante pour l’écosystème européen de la mode circulaire.
Elle montre qu’il est possible de concilier croissance, technologie et impact.
Et qu’un autre modèle de consommation — plus intelligent, plus piloté, plus désirable — est en train d’émerger.

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